La reprise des cours à tout prix : inacceptable ! irresponsable ...
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PPCR - Analyses
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vous souhaite
une très belle année 2021,
engagée !
FAQ éducation nationale "COVID 19" mise à jour à découvrir ici
Les recteurs, les IA-DASEN expliquent que le dispositif mis en place en 2020 « pas de fermetures de classes dans les communes de moins de 5000 habitants sans accord du maire » ne serait pas reconduit. Mais, face à l’amplification des mobilisations locales, le gouvernement et le ministère se retrouvent sous pression.
Ainsi, la secrétaire d’Etat à l’Education prioritaire Nathalie Elimas, s’exprimant au nom du ministre Blanquer, répond à un sénateur mercredi 3 février lors des questions au Sénat : « Depuis la rentrée 2020, aucune fermeture de classes ne s’est faite dans les communes de moins de 5 000 habitants sans l’accord du maire. Il n’y a pas de raison que cela change. Le travail fin est en cours avec tous les élus en ce sens. » Interrogée par un journaliste après la séance, elle confirme : « Nous ne fermons ni école ni classe dans les petites villes de moins de 5000 habitants sans accord du maire. »
Pour la FNEC FP-FO, il serait incompréhensible que l’engagement pris par la secrétaire d’Etat ne soit pas respecté : aucune classe dans les communes de moins de 5000 habitants ne doit être fermée !
En 2020, lorsque le ministre avait fait cette annonce, il avait acté en conséquence la création de 1248 postes supplémentaires. En 2021, de la même manière, il doit immédiatement annoncer la création de postes supplémentaires à la hauteur des besoins ! Cela tombe bien car en 2020, Blanquer a économisé plus de 200 millions d’€ sur le dos des personnels en ne consommant pas tout son budget… Il a donc de la marge !
En pleine crise sanitaire, la rigueur budgétaire ne doit pas prévaloir dans l'Education Nationale.
Nos collègues enseignants sont déjà surchargés et étouffés par un protocole sanitaire obsédant, supprimer des classes est-elle la bonne réponse monsieur le ministre Blanquer ?
!!! Pour le SNUDI FO, c'est NON !!!
à lire : courrier de la FNEC-FP FO au ministre Blanquer
à lire : communiqué FNEC-FP FO suite aux propos de la secrétaire d'état Elimas qui a déclaré
devant le Sénat et les journalistes :
" Nous ne fermons ni école,ni classe dans les petites villes de moins de 5000 habitants
GREVE 26 JANVIER
Depuis des semaines
la colère monte dans les écoles et les établissements contre les mesures ministérielles.
Les conditions de travail se dégradent, les statuts sont remis en cause, les salaires...
Le mépris et le discrédit ... à lire ici
Reconstruisons le puzzle :
1/ objectifs immédiats et principaux,
2/ conséquences.
Faites votre choix ICI et inscrivez-vous en envoyant un mail à : snudinordfo@laposte.net
Le 2 novembre le Ministre voulait une rentrée placée sous le signe de l’unité nationale avec ses mesures qui détruisent l’enseignement et les libertés.
Il n’a pas réussi.
Malgré les pressions, des milliers de personnels se sont regroupés en réunions syndicales et en Assemblées Générales dès le 2 novembre dans toute la France. Des débrayages, des recours au droit de retrait ont eu lieu un peu partout, notamment dans les collèges et les lycées comme au lycée et au collège Van der Meersch, au lycée Baudelaire et au collège Anne Franck à Roubaix, au lycée Queneau de Villeneuve d'Ascq, au lycée Fénelon de Lille, au lycée Emile Zola de Wattrelos, au lycée Charlotte Périand de Genech …et dans des Lycées et collèges de toute l’Académie, à Arras, Bailleul, Boulogne, Berck, Béthune, Bruay, Calais, Cambrai, Dunkerque, Lens, Longuenesse, Montreuil, Nœux les Mines, Valenciennes…ainsi que dans plusieurs écoles primaires qui se sont appuyées sur la préavis de grève de la FNEC-FP-FO pour s’engager dans l’action.
Des motions ont été adoptées pour poser clairement les revendications.
Nous citons la fin de la motion de nos collègues du lycée Van der Meersch de Roubaix :
« Nous demandons :
- le recrutement d’agents d’entretien,
- le dédoublement des classes,
- le recrutement du personnel enseignant nécessaire.
Mais notre réaction n’est pas due uniquement à la situation sanitaire. La dégradation continue des conditions d’enseignement à chaque réforme de l’Éducation Nationale a constamment fragilisé les personnels de l’enseignement public. L’épidémie dans ce contexte ne fait qu’accentuer une situation qui était déjà devenue insoutenable.
Nous continuons à exiger le retrait des réformes du bac, du lycée, du collège, de Parcoursup et de la loi de transformation publique que nous considérons comme des atteintes à l’école de la République. Nous demandons au Ministre de l’Education Nationale d’annuler les 1800 suppressions de postes prévues à la rentrée 2021.
Nous nous réunirons à nouveau mardi 3 novembre à 8h pour décider des suites de la grève.
Nous appelons tous les collègues à relayer cette motion et à rejoindre le mouvement. »
Les dernières annonces du Ministre Blanquer ne répondent pas aux revendications des enseignants qui ne veulent ni d’un BAC local en contrôle continu, ni du retour de « l’enseignement » à distance et de la double-journée de travail.
Sous prétexte d’un protocole « renforcé », le ministre indique : « chaque établissement aura son organisation propre », remettant en cause une fois de plus le caractère national de l’Ecole. En refusant de répondre aux revendications, le ministre cherche une fois de plus, à faire porter la responsabilité du chaos sur les seuls personnels.
Alors que le manque d’enseignants, de personnels techniques, administratifs, sociaux et de santé est rendu encore plus flagrant dans la situation sanitaire que nous connaissons, le ministre ne prend aucune mesure pour créer des postes.
Comme le dit le communiqué unitaire (FO, FSU, FCPE, SUD, UNSA, SGEN, CGT, UNL...) adopté le 1er novembre : Il faut procéder à un recrutement massif de personnels dès maintenant, en particulier en ayant recours aux listes complémentaires et en les abondant.
Lire le communiqué intersyndical
Dans cette situation, alors que la colère monte dans les écoles et les établissements, la FNEC FP-FO appelle l’ensemble des personnels de l’Éducation nationale à suivre le mot d’ordre intersyndical de grève mardi 10 novembre pour exiger :
- Le recrutement immédiat de tous les candidats inscrits sur les listes complémentaires et l’abondement de celles-ci !
- De réelles mesures de protection pour les personnels (dépistage systématique, mise à disposition de masques FFP2)
- L’abandon de toutes les réformes remettant en cause nos statuts et aggravant nos conditions de travail !
- L’arrêt de la répression envers les lycéens !
Elle les appelle à se réunir, et à s’adresser aux parents d’élèves, aux lycéens, pour organiser la mobilisation sur ces revendications.
Lire le préavis de grève intersyndical FO-FSU-CGT-SUD-SNALC
Pour les enseignants des classes élémentaires et maternelles, il est demandé d’envoyer une déclaration d'intention préalable pour la grève. Cette déclaration doit être envoyée 48h avant soit avant le samedi 7 novembre minuit.
Télécharger la déclaration préalable ici.
Le défaut de déclaration préalable n'interdit toutefois pas de faire grève car le droit de grève est un droit imprescriptible. En cas de pression, contacter le syndicat.
Les entretiens professionnels, équipes éducatives, animations pédagogiques et autres réunions doivent être reportés s'ils tombent un jour de grève.
Masques « DIM »
Le scandale des masques « DIM » a été abordé. La Conseillère sociale a indiqué que le Ministère avait saisi les Hautes Autorités Sanitaires mercredi 14 octobre... La FNEC FP-FO s’est étonnée que le ministre ne l’ait pas fait plus tôt : FO avait soulevé le problème de la toxicité des masques dès le11septembre en CHSCT ministériel et un avis avait été adopté:«En cas d’expertise déclassant la capacité des masques à assurer une protection totale des personnels, les membres du CHSCTdemandent au ministère que ces équipements soient d’urgence remplacés par des masques plus efficaces. »
Qu’a fait le ministre pendant un mois ? FO a donc déposé une procédure d’alerte.
Pour votre sécurité et celle de votre famille,
nous vous conseillons de ne plus utiliser ce masque
Proposition de Loi créant la Fonction de Directeur d'école.
Le 4 pages pour bien comprendre le DANGER d'un tel statut.
Pour la FNEC-FP FO et le SNUDI FO, c'est NON !!!
PROPOSITION DE LOI VERS UN STATUT DE DIRECTEUR.
Profitant de la crise sanitaire,
droit dans le fil de la politique de DESTRUCTION de l'école publique, ...
Le SNUDI FO appelle les personnels à se réunir et à RESISTER !!!
L’ ÉTAT FOURNIT LES MASQUES
POUR PROTÉGER SES ENSEIGNANTS ET LEURS ÉLÈVES.
ALERTE CORONAVIRUS
Signez et faites signer notre pétition en ligne :
URGENT : Rentrée scolaire du 11 mai,
Le SNUDI Nord FO fait le point !
Depuis quelques semaines, les informations fusent.
le SNUDI Nord FO vous propose de faire le point : à lire ici..
Comité Hygiène Sécurité Conditions Travail Ministériel (CHSCT M) du 21 avril.
(Les représentants élus (élections professionnelles décembre 2018) sont issus des formations syndicales suivantes : unsa, fsu, FO.
à savoir et retenir...
Pour la FNEC-FP FO, les CHSCT M se suivent et se ressemblent. Pas ou peu de réponses apportées aux problèmes de fond posés par FO sur la sécurité des travailleurs.
Concernant l'attitude de la FSU (Snuipp), la FNEC-FP FO a assisté à un revirement. Après avoir voté avec FO le 3 avril un avis sur le dépistage, les représentants de la FSU ont changé radicalement de stratégie en décidant d'accompagner la décision de M. Macron de rouvrir les écoles. De plus, ils se sont également opposés aux demandes de FO sur la nécessité d'utiliser des masques FFP2 pour les collègues enseignants. Ils ont présenté un protocole de reprise de l'activité, se substituant complètement à l'employeur dont c'est la responsabilité d'établir les mesures et consignes de sécurité.
La FNEC-FP FO a maintenu le cap de l'INDEPENDANCE syndicale en présentant les revendications des personnels.
En annonçant la reprise de l'école le 11 mai, le Président Macron et son gouvernement accompagnés par la Fsu et l'Unsa s'opposent à l'avis du Conseil scientifique qui préconisait un retour en septembre.
Annonces du Premier ministre :aucune réponse, aucune garantie !
Les conditions sont-elles réunies pour une reprise, même progressive ? NON.
La reprise des cours à tout prix : inacceptable ! irresponsable ...
Suite à l'utilisation du 49-3 par le gouvernement pour nous imposer sa contre réforme des retraites qui pénalisera tous les enseignants,
Grèves et Manifestations,
ça continue !
Après la mobilisation devant la Préfecture ce 3 mars,
une grande journée de mobilisation
le mardi 31 mars, dans tout le pays !
Ce gouvernement doute ! Notre ministre ment !
Il prétend nous imposer une revalorisation...
(à l'image de son école de la confiance).
Le Snudi FO 59 s'en saisit, et dit :
Ridicule et méprisant !à lire ici
RETRAIT de la REFORME DES RETRAITES
La manipulation du gouvernement pour nous faire arrêter la grève !
Contre réforme des retraites :
Sévère critique du Conseil d'état à lire iciFonctionnaires : Vers une baisse historique du pouvoir d’achat des pensions.
Le moins que l’on puisse dire c’est que cette réforme des retraites systémique et paramétrique est de plus en plus contestée tant l’analyse qui en est faite lève des « loups » !
- Le Conseil d’Etat a annoncé le 24 janvier que le gouvernement ne lui a pas donné le temps nécessaire pour garantir « la sécurité juridique » de son examen du projet de réforme des retraites pour lequel les projections financières sont « lacunaires ».
De plus, le choix de recourir à 29 ordonnances, y compris « pour la définition d’éléments structurants du nouveau système de retraite », est aussi vertement critiqué. Il « fait perdre la visibilité d’ensemble qui est nécessaire à l’appréciation des conséquences de la réforme et, partant, de sa constitutionnalité et de sa conventionnalité », estime le Conseil d’État, qui souhaite aussi voir disparaître du texte la promesse de revalorisations des enseignants et des chercheurs par des lois de programmation. Car « sauf à être regardées, par leur imprécision, comme dépourvues de toute valeur normative, ces dispositions constituent une injonction au gouvernement de déposer un projet de loi et sont ainsi contraires à la Constitution ».Les 10 milliards annoncés par le gouvernement pour revaloriser les enseignants d’ici 2037 pour « garantir » leur pension pose un problème de CONSTITUTIONNALITE, cela veut tout dire !
En clair, le gouvernement veut que nous lui signions un chèque en blanc…
Ajustements, révisions à la baisse sur la valeur du point et à la hausse pour l’âge de départ
sans contestation possible puisque la loi l’autorise, … Voilà en résumé ce que ce projet contient !
- Pour les fonctionnaires
Le gel du point d’indice sur la période 2010-2022 va se répercuter mécaniquement sur les futures pensions ! (x + 0 = x)
(Augmentation de 0.6 % en 2016 et 0.6 % en 2017 pour être exact mais c’est tellement insignifiant que cela ne changera pas grand-chose au calcul !)
- Pour les enseignants du primaire
Leur salaire inférieur à celui des autres cadres de la Fonction Publique (plus de 25 % de différence), la quasi absence de primes pour la majorité des Professeurs des Ecoles et le gel du point d’indice sur les 12 dernières années entraînent de facto une baisse des pensions !
La revalorisation annoncée ne peut s’opérer (inconstitutionnalité)et seuls 500 millions seront débloqués en 2021 !
Les 10 milliards "promis" sur 15 ans ne s'appliquant pas et le calcul des pensions se faisant sur l'ensemble
de la carrière et non plus sur les 6 derniers mois, la baisse sans précédent des pensions appliquées aux enseignants du 1er degré est incontestable et majeure.
- Pour les femmes qui représentent 85 % dans le primaire :
- Le salaire moyen des femmes est inférieur de 11 % à celui des hommes dans le premier degré et de 8% dans le second.
"Quels que soient le corps et le secteur, les hommes enseignent davantage à temps plein et sont plus avancés dans leur carrière".
- Dans le nouveau système, les trimestres disparaissant, l’âge d’équilibre pouvant augmenter, il n’est pas garanti du tout qu’elles pourront partir à 64 ans sans décote
comme claironné au départ, en haut lieu !
- Les 5 % octroyés pour la naissance de chaque enfant (au lieu de 4 trimestres actuellement dans la Fonction Publique et 8 trimestres dans le privé) correspondent
exactement à une année de décote aujourd’hui !
- Actuellement les trimestres ajoutés pour les enfants permettent de bénéficier de sa pension sans décote si à 62 ans (âge légal) le nombre de trimestres demandé est atteint.
- Demain, 5% seront donnés par enfant si l’âge d’équilibre est atteint (64, 65, 66 ou 67 ans selon l’évolution du curseur même si l’âge légal reste à 62 ou 63 ans)
sinon la décote appliquée de 5% (actuellement) avant l’âge pivot annulera purement et simplement ce « bonus » !
- Comme indiqué dans un précédent article les 5 % peuvent être accordés au père ou à la mère sachant que c’est souvent l’homme qui a le meilleur salaire
et qu’il est plus judicieux que ce soit lui qui en bénéficie pour une meilleure pension !!!
Qu’en sera-t-il en cas de séparation ?
Les femmes sont loin d’être les grandes gagnantes de ce nouveau système ! Pire, elles en font plus que jamais les frais…
- Une étude d’impact sur la réforme parue également vendredi 24 janvier accuse le gouvernement de calculs malhonnêtes
car ils intègrent l’âge d’équilibre de 65 ans dès 2027 (voire plus après) pour calculer les pensions des futures générations. Mais le loup est dans les détails !Dans cette étude, les futures pensions de toutes les générations sont calculées à partir de l’âge d’équilibre de ceux nés en 75. C’est-à-dire 65 ans.Alors que la réforme prévoit justement que l’âge à atteindre pour ne pas subir de malus augmente progressivement, d’un mois par génération, jusqu’à atteindre 67 anspour ceux nés à partir de 1999.MAIS pour ses cas-types, le gouvernement opère un trucage :il applique un faux âge d’équilibre (65 ans) à tous les profils, nés en 1980, 1990 ou... 2003.
- Le communiqué de presse de Force Ouvrière de vendredi 24 janvier relate cette étude d’impact et livre sa première réaction (cf. pièce jointe). Voir également le communiqué FNEC FO.
- Des mobilisations massives ont eu lieu depuis le 5 décembre pour que cette réforme des retraites soit retirée.
- Une majorité de Français est également favorable à l’abandon de ce projet, le Conseil d’Etat donne raison aux contestataires et pourtant le gouvernement reste sourd !
Le SNUDI FO reste mobilisé mais un syndicat n’est une force d’opposition que si ceux qu’ils défend (syndiqués ou non) s’impliquent !
Une nouvelle manifestation se tiendra le 29 janvier, la veille de la conférence de financement annoncée par Édouard Philippe"
Le 24 janvier : Le gouvernement a présenté sa contre-réforme en conseil des ministres : nouvelle journée de grève et de manifestation interprofessionnelle.
+ 550 millions d'€ pour 2021 à lire ici
Le Ministre Blanquer prend les enseignants pour des truffes et des pigeons !!
PROFITEZ-EN POUR VOUS INFORMER, PARTICIPEZ à UNE R.I.S. !!!
*Lille, Mardi 28 janvier 2020, Bourse du Travail, 254 Boulevard de l'Usine 3ème étage dès 17h00
*Lille, Mercredi 29 janvier 2020 dès 9h00, Bourse du Travail, 254 Boulevard de l'Usine 3ème étage
*Dunkerque, Jeudi 30 janvier 2020, dès 17h30, école Jules Verne à Saint Pol-sur-Mer
*Le Quesnoy, Mardi 4 février 2020, école du Centre à partir de 17h00
*Bavay, Mardi 11 février 2020, école de l'Atrium dès 17h30
Pour y participer, + d'INFOS ici
RETRAITES SOUTENIR et AMPLIFIER la GREVE
Rejoignez-nous, il est important de montrer notre détermination au gouvernement !!!
Les 9, 10 et 11 janvier les mobilisations ont été d’une grande force.
Ce samedi 11 janvier elles ont pris de l’ampleur avec un caractère interprofessionnel et transgénérationnel marqué. Ces journées marquent une étape importante dans la mobilisation par la grève lancée depuis le 5 décembre.
Cela montre la détermination et le refus de ce projet absurde de régime unique de retraites par points par une majorité de la population, malgré toutes les tentatives et manipulations du gouvernement.
Les organisations syndicales CFE-CGC, CGT, FO, FSU, Solidaires, MNL, UNEF et UNL appellent l’ensemble du monde du travail et la jeunesse à poursuivre et renforcer la grève y compris reconductible là où les salarié-es le décident.
MODèLE DE LETTRE INTENTION DE FAIRE GRèVE, cliquez ici.....
COMMENT PROCéDER ? MODE D'EMPLOI, cliquez là...
MANIFESTATION à LILLE ce JEUDI 16 JANVIER 2020
14H30 PORTE DE PARIS
MODèLE DE LETTRE INTENTION DE FAIRE GRèVE, cliquez ici.....Syndicat de la FNEC-FP FO
Pour vous aider dans cette démarche, le SNUDI FO 59 met à votre disposition :
- La note de service (n°2019-163 du 13/11/2019) sur la mobilité des personnels enseignants du 1er degré - rentrée scolaire 2020, ...cliquez ici...
- Un document d'informations du SNUDI FO synthétisant cette note de service, ...cliquez ici...
- Un bordereau pour les pièces justificatives à fournir. ...cliquez ici...
N'hésitez pas à faire appel à nous pour les aides et informations complémentaires en contactant notre délégué en charge du mouvement au 06-18-45-77-93.
SNUDI . NORD
Syndicat du Nord Unifié des Directeurs, Instituteurs
et professeurs des écoles de l’enseignement public
Force Ouvrière
MOTION de l’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE du SNUDI NORD FO
L’Assemblée Générale du SNUDI FO 59, réunie le 12 novembre 2019 à Maubeuge, rejoint l’appel du 18ème Congrès de la FNEC-FP FO et exige à l’unanimité :
Le retrait du projet Macron / Delevoye de régime universel par points.
Le maintien des 42 régimes dont le Code des pensions civiles et militaires.
L’abandon de la loi de transformation de la Fonction Publique et des contre-réformes.
Le SNUDI-NORD FO appelle l’ensemble de ses adhérents et de ses sympathisants à participer au mouvement de grève et à manifester à partir du jeudi 5 décembre.
SUICIDES DANS L'EDUCATION NATIONALE - SNUDI FO reçu au ministère le 6 novembre :
Le SNUDI-FO reçu au ministère ce 22 octobre sur la question de la direction d'école.
De qui se moque-t-il ? à lire ici
Malgré nos alertes, depuis des années, la maltraitance institutionnelle n’a cessé de se développer : paperasserie et saisies informatiques à n’en plus finir, réunionnite, évaluationnite, augmentation des effectifs, immixtion des élus politiques dictant en particulier les rythmes scolaires, absence de médecine du travail et de médecine scolaire, manque criant d’enseignants spécialisés et de titulaires remplaçants, suppression de toutes les aides administratives à la Direction d’école, réformes du collège et du lycée, et face à la calomnie et aux agressions, c’est la politique du « pas de vague » voire de la mise au banc des accusés par la hiérarchie au lieu de la protection des personnels…
et pour ceux qui s’arrêtent, épuisés,
le jour de carence les sanctionne d’un retrait de salaire !
La réaction du ministre de l’Education nationale au décès de Christine Renon, un tweet 5 jours plus tard, est à l’aune de la maltraitance institutionnelle.
Pire, utilisant de manière honteuse le suicide de notre collègue, à travers le projet de loi préparé par la députée Cécile Rilhac, le ministre entend regrouper les écoles, les transformer en Etablissements Publics d’Enseignement Primaire (EPEP). Il veut mettre en place un statut de directeur supérieur hiérarchique, c'est-à-dire nous resservir les établissements publics des savoirs fondamentaux (EPSF) de la loi sur l’Ecole de la confiance qu’il avait dû retirer face la mobilisation des enseignants !
Transformer les écoles en EPEP et mettre en place un statut de directeur supérieur hiérarchique aurait pour effet immédiat de réduire de manière drastique le nombre de directeurs d’école et ne ferait que les exposer davantage en les transformant en personnels chargés de faire passer les contre réformes !
En CHSCT, CSTD et CDEN, Force Ouvrière n’a cessé d’alerter sur la dégradation des conditions de travail des personnels et des directeurs en particulier.
!!! Ce n’est pas un comité de suivi pour un statut de directeur qui répond aux revendications des personnels !!!
Le SNUDI-NORD FO REVENDIQUE :
►l’augmentation des quotités de décharges de direction, pas une école sans décharge ;
►l’amélioration en points d’indice de la rémunération des directeurs ;
►la mise en place d’une aide administrative à temps complet, dans le cadre d’un emploi statutaire de fonctionnaire dans toutes les écoles ;
►le rétablissement d’un calendrier national avec retour de la semaine de 4 jours sur 36 semaines dans toutes les communes ;
►l’arrêt des APC et des évaluations inutiles et chronophages imposées par le ministère ;
►l’arrêt des injonctions autoritaires niant le professionnalisme des enseignants et remettant en cause leur liberté pédagogique ;
►la suppression des tâches transférées sur les écoles (PPMS, AFFELNET, etc.) ;
►la restauration de l’enseignement spécialisé (RASED, classes et structures spécialisés) pour répondre réellement aux besoins des élèves en grande difficulté scolaire et en situation de handicap ;
►la protection inconditionnelle des enseignants par la hiérarchie ;
►le développement d’une réelle médecine préventive pour les personnels et d’une réelle médecine scolaire pour les élèves.
Le ministre utilise le suicide de Christine Renon pour imposer les EPEP et le statut de directeur : honteux et inacceptable ! .......à lire ici ...............
Décès dramatique de notre collègue Christine Renon : consternation et colère !
Depuis le mois de mai, dans un quasi-silence politique et médiatique, ce sont 3 collègues du premier degré qui ont mis fin à leurs jours.
Jean Willot (Val d'Oise), injustement accusé d'avoir malmené un élève (l'enquête le lavera de tout soupçon) et qui n'avait alors obtenu aucun soutien de sa hiérarchie, puisque son IEN n'avait « pas le temps de le recevoir ».(sic)
Jean-Pascal Vernet (Hautes-Alpes) qui s'est suicidé en mai, recevant l'annonce de sa suspension «à titre conservatoire» - et pour qui son Inspection Académique reconnaîtra une erreur de « copié/collé » concernant une mise en examen qui n'existait pas.
Les suicides se multiplient, le ministère se refuse toujours d’en publier la liste pour en taire l’ampleur et tenter de camoufler la responsabilité de l’Institution.
Christine Renon (Seine Saint-Denis), directrice exténuée dont chacun a pu lire la lettre déchirante.
Le SNUDI-FO 59 s'associe pleinement à la douleur de la famille et des collègues de Mme Renon.
Lire le courrier de Christine sur le site du SNUDI-FO 93
Analyse : Dans son dernier courrier, Christine nous fait part de son épuisement qu'elle attribue en grande partie à la réforme des rythmes scolaires encore appliquée à Pantin,ainsi qu'aux relations conflictuelles avec entre-autre avec la municipalité. En substance, elle incrimine les différentes réformes chronophages, inutiles, inhumaines,.. que subissent l'ensemble des directeurs-trices et leurs collègues adjoints-tes. Faut-il vous rappeler quels syndicats enseignants ont plébiscité et ratifié ces réformes - PPCR - PEdT - Rythmes scolaires, ...?
Lire ici le communiqué de la FNEC-FP-FO : combien faudra-t-il de morts ?
POUR CONNAITRE et DEFENDRE MES DROITS,
Vite !!! La Colère monte...- Le torchon brûle !!!
Collègues directeurs-trices, PE, instits, Aesh, ...
Prochaines RIS - en novembre - à Lille, Maubeuge et St-Pol-sur-Mer...à lire ici...ou là...
RETRAITES : ABANDON DU PLAN MACRON-DELEVOYE !
Maintien des 42 régimes !
Jusqu'à 42% de pension en moins ! INACCEPTABLE !
NON à la retraite par points !
Maintien du code des pensions et des 42 régimes existants !
Manifestation FO du 21 septembre 2019 à Paris..